Robert Lebel explique ce qui a fait la force de la Pentecôte à ses débuts et pourquoi il est nécessaire de revenir au baptême dans le Saint-Esprit. Il éclaire aussi sur le sujet du parler en langues et de son utilité dans notre vie chrétienne de tous les jours.
Pourquoi, comment, quand : Le baptême d’Esprit-Saint
7,00€
suivi de : Le parler en langues
Poids | 0,21 kg |
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Dimensions | 12,5 × 19,5 cm |
Auteur |
Robert LEBEL |
Nombre de pages |
145 |
Format |
125*195 |
ISBN |
2-84154-008-1 |
Date de 1ère parution |
mai 1994 |
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Ah ! ces Pentecôtes individuelles où l’un et l’autre reçoit séparément cette bénédiction du Saint-Esprit !
Mr D. avait cinquante ans environ. Lors d’une réunion de prières, un soir, il fut rempli et baptisé du Saint-Esprit. Il se mit à parler en langues. Il avait 20 km à faire, à bicyclette, pour retourner chez lui. Il nous a bien souvent dit avec quel entrain il avait fait ces 20 km, dans la joie et l’allégresse !
Mme L. La réunion de prière se terminait. Tout à coup, le Saint-Esprit vint sur elle et elle se mit à parler en langues. Elle était rayonnante de joie et louait le Seigneur.
Un jour, lors d’une réunion de jeunesse à Montpellier — elle avait duré trois heures, mais le temps avait passé très rapidement — le Saint-Esprit se manifesta et toute l’assistance se mit à louer le Seigneur. Deux ou trois jeunes furent baptisés du Saint-Esprit et parlèrent en langues. Lorsque le Pasteur arrêta la réunion en disant qu’il fallait penser à aller manger, ce fut un éclat de rire général, tellement ces contingences naturelles paraissaient fades à côté de la glorieuse joie d’avoir loué le Seigneur par le Saint-Esprit.
Des pages et des pages pourraient ainsi être ajoutées pour raconter toujours la même chose, écho actuel de la Pentecôte d’antan : Jésus baptise encore du Saint-Esprit.
L’Ecriture dit : des langues de feu de posèrent sur chacune des personnes séparément.
C’est une expérience individuelle et personnelle. Bien que l’on puisse être baptisé du Saint-Esprit lors d’une réunion avec d’autres personnes, c’est toujours l’individu et non la collectivité qui le reçoit. D’ailleurs, un grand nombre de chrétiens aujourd’hui ont été baptisés du Saint-Esprit alors qu’ils étaient seuls dans leur maison et qu’ils priaient le Seigneur.
Beaucoup d’autres ont reçu l’imposition des mains au cours d’une réunion et c’est à la maison, en prière, seuls avec le Seigneur, qu’ils ont réalisé la bénédiction d’En-haut.
Dernièrement, une brave grand-mère de presque 80 ans qui venait de se convertir au Seigneur après avoir vécu sans Le connaître jusqu’à cette fin de l’hiver de sa vie, avait reçu l’imposition des mains en vue du baptême du Saint-Esprit. Puis, un mercredi de décembre 1967, comme il neigeait, elle ne put venir à la réunion. Alors, chez elle, lisant dans son recueil de cantiques, elle se mit à chantonner des louanges. Puis elle sentit au fond d’elle-même qu’elle devait prier. Elle se disposait à le faire lorsqu’elle vit deux flammes de feu descendre sur elle et, en même temps, elle se mit à parler en langues.
Le dimanche suivant, elle raconta à l’assemblée son expérience. Avec beaucoup de suite, elle parla de sa conversion au Seigneur, d’une guérison dont elle avait été l’objet, et de ce glorieux baptême du Saint-Esprit. Son visage radieux en disait autant que ses paroles ! L’assistance était remplie de joie a l’écoute du témoignage de cette femme qui autrefois - selon ses propres dires - avait passé tellement de temps à lire des romans à l’eau de rose et qui, maintenant, mettait tout son plaisir dans la Parole de Dieu.
Le jour de la Pentecôte, il y eut un bruit, semblable à un vent impétueux et il remplit toute a maison.
On entendit ce bruit.
Il y eut des langues de feu.
Et on vit ces langues de feu.
Et chacun fut rempli du Saint-Esprit et se mit à parler en d’autres langues selon que l’Esprit le poussait à parler.
Ce sont là des choses concrètes : l’ouïe (le bruit comme celui d’un vent), la vue (des langues semblables à des langues de feu) et, conséquence d’être rempli, le parler (ils se mirent à parler en d’autres langues). Tout ce qui est concret ne s’offre pas en même temps à l’ouïe, la vue, l’être intérieur, avec autant d’intensité. Mais il en a été ainsi du Saint- Esprit lorsqu’il est venu le jour de la Pentecôte. Et cette expérience de l’Eglise primitive se serait passée une fois pour toutes dans l’histoire chrétienne ? Car c’est ainsi que pensent trop de gens pour ne pas vouloir y croire pour aujourd’hui ! Non, Dieu en soit béni, ce ne fut pas seulement et uniquement pour le jour de la Pentecôte. Mais cette expérience est pour tous les croyants de tous les siècles qui voudront bien y croire.
VOICI QUAND ÊTRE BAPTISÉ D’ESPRIT.
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