Jésus a dit : « Tout est possible à celui qui croit » (Marc 9.23), et encore : « Demandez et l’on vous donnera... Votre Père donnera de bonnes choses à ceux qui les demandent » (Matthieu 7.7-11).
Georges Muller est un de ceux qui ont saisi cette parole et qui en ont expérimenté la puissance.
Voici quelques extraits empruntés au journal que Georges Muller tenait lui-même.
Peut-être faut-il préciser que G. Muller avait fondé un orphelinat, et même plusieurs, sans aucune fortune personnelle, ni aucune subvention, et qu’Il s’attendait uniquement à Dieu pour subsister !
Il a écrit : « J’ai décidé de ne parler qu’au Seigneur de mes besoins ».
Voici donc un fragment de ce journal :
« Ce jour-là nous n’avions plus que trente centimes, et c’est à peine si le pain pouvait suffire pour la journée. J’avais exposé à plusieurs reprises mes besoins à Dieu.
Après le déjeuner, en rendant grâces, je demandais au Seigneur notre pain quotidien, pensant littérale-ment au pain nécessaire pour le dîner de ces enfants.
Pendant que je priais, une personne entra, apportant des provisions et de l’argent de la part d’une amie.
Dans l’après-midi, elle revint avec un gros pain... »
Plus loin, Muller écrit :
« Nous avons reçu en nature des provisions et des vêtements... »
Une autre fois, il dit :
« Aujourd’hui, un donateur inconnu nous a apporté une épaule de mouton et un pain... »
« Comme nous n’avions pas assez de lits pour accueillir tous les enfants, quelqu’un a eu l’idée de nous offrir ces lits... »
Et ce journal bouleversant a plusieurs centaines de pages dans lesquelles se retrouvent ces mêmes choses. Et cela a duré pendant toute la vie de Georges Muller !
Un tel témoignage peut paraître très irréel, voire fantastique ; et pourtant il s’agit de l’exacte vérité. Et je le répète, cela n’a pas duré un temps, mais toute une vie, une vie débordante d’activité... et de prières.
Dans tous les domaines pratiques, Georges Muller fit l’expérience de cette présence divine et de cette fidé¬lité de Dieu, tout comme jadis, au désert, le peuple Hébreu sous la conduite de Moïse.
Voici encore un étonnant passage (mais vraiment on ne sait lequel choisir !) :
« En 1864, il y eut une grande sécheresse. Le puits qui nous fournissait notre eau était presque à sec. On cria à Dieu tous ensemble. Et voici qu’un fermier…
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.