Par ce livre, Alain André veut témoigner de ce chemin de foi nouveau qu’il a emprunté, et nous donner envie de vivre un réveil dans notre propre vie : qu’une saine jalousie même nous envahisse ! Ce n’est pas une simple expérience momentanée et stimulante. C’est comme une puissance de vie qui jaillit, qui nous donne un autre regard, qui nous fait aborder nos défis autrement, et au final, nous fait vivre la foi et plus seulement y adhérer.
« Si le style d’écriture de ce livre peut paraître à certains quelque peu direct, je veux affirmer qu’il ne correspond pas à une volonté de provoquer nos manières de vivre et de penser, mais il est simplement l’écho de l’interpellation de Dieu dans ma vie et de tout ce qu’Il a dû décaper dans ma propre existence.
Inconsciemment, je percevais jusqu’alors les réveils spirituels comme des temps bénis liés à des missionnaires lointains héroïques, mais sans comprendre réellement quels en étaient les facteurs déclenchants.
Ce livre veut témoigner de mon propre réveil, de ce qu’il a engendré dans tous les domaines de ma vie et des défis de foi que je vis au niveau des services dans lesquels je suis engagé ; il veut aussi nous interpeller, en parallèle, sur la manière dont l’action du Saint-Esprit s’est manifestée dans des réveils qui ont fait parler d’eux ».
Attention au Réveil…!
7,50€
Ce livre est une source d’inspiration pour tous les affamés d’une vie qui vaut la peine d’être vécue !
Chercheurs du Dieu vivant, lisez ce livre, il vous communiquera une flamme nouvelle dans votre aspiration à la vraie vie !
Laissez-vous embraser !
Vive le réveil ! Vive la vie avec Dieu !
Poids | 0,14 kg |
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Dimensions | 13,5 × 21 cm |
Auteur |
Alain ANDRE |
Nombre de pages |
96 |
Format |
135*210 |
ISBN |
978-2-88027-194-7 |
Date de 1ère parution |
avril 2009 |
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Lorsque le réveil sonne le matin, nous avons tous des attitudes différentes. J’ai pu observer autour de moi au moins trois catégories de personnes, selon leur mode de réveil :
→ les grincheux, qui le restent pendant toute la journée qui s’annonce,
→ les lents au démarrage, qui ne seront opérationnels qu’après une douche, un petit-déjeuner et quelques moments calmes, avant d’entamer une montée progressive de la forme,
→ les toniques du matin, dès le réveil.
Vous avez certainement fait le même constat que moi.
Et ces différentes aptitudes au réveil sont notamment liées, dit-on, au rythme biologique personnel, ce qui rend très difficile le changement d’aptitude au réveil chez une même personne.
On observe quand même des capacités de changement ponctuel. Par exemple, entre l’été et l’hiver, certains vivent tout à fait différemment leur réveil ; ou alors, quand le jour d’un projet particulièrement attendu se présente, alors notre comportement au réveil peut être complètement chamboulé !
Ne l’avez-vous pas expérimenté ?
Ce propos n’a pas pour objet de stigmatiser telle ou telle aptitude, mais de nous interpeler d’emblée quant à notre réaction face à un réveil spirituel qui a lieu en nous, autour de nous, ou au loin :
Sommes-nous de ceux qui discernons de suite les prémices d’un réveil, par le travail du Saint-Esprit en nous, et nous mettons-nous en marche pour entrer dans ce mouvement ?
Ou sommes-nous de ceux qui prenons le temps de réaliser, d’analyser, de peser ce qui se passe avant de nous laisser convaincre et entraîner lentement par le flot de la vie ?
Ou bien sommes-nous de ceux qui, toute notre existence, regarderons ce mouvement de vie, avec crainte et critique, ou avec un questionnement tel qu’il nous paralyse, tout cela en bougonnant contre les chamboulements qu’entraîne la vie… mais en définitive en passant complètement à côté d’elle, et sans profiter des bénédictions qu’elle apporte ?
C’est un fait : nous pouvons avoir un tempérament naturel de leader, ou de suiveur, ou d’opposant-conservateur.
Mais le Saint-Esprit est là, dans notre vie, pour transformer ce que nous sommes, pour nous amener « à la pleine stature de Christ » en développant en nous le fruit de l’Esprit (Galates 5.22).
Pour qu’Il croisse et que je diminue, c’est un chemin de disciple, chemin « d’apprenti de Dieu » auquel Il nous appelle :
« celui qui ne porte pas sa croix et ne me suit pas - ne renonce pas à lui-même ne peut être mon disciple » : Luc 14.27.
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