Même si vous ne faites jamais ma connaissance, vous n’aurez rien manqué. Si vous cherchez une guérisseuse par la foi, alors ne lisez pas ce livre. Si vous êtes à la recherche d’une philosophie avancée, ce livre n’est certainement pas un manuel. Est-ce une nouvelle religion ou une nouvelle sensation que vous désirez ? Alors je ne peux sûrement pas vous aider. Je n’ai pas de nouvelle religion à vous offrir. Je ne suis pas une voyante ou une faiseuse de miracles. Je suis tout simplement une femme. Personne mieux que moi, sait que de moi-même, je ne suis rien. Je ne suis pas votre point de contact. Je ne suis pas une libératrice. Devant vous je me tient désemparée. Et cependant les miracles se font. Pourquoi, pourquoi ?
Dieu agit encore
17,50€
Jésus-Christ est la réponse, quelle que puisse être la question.
Rupture de stock
Poids | 0,36 kg |
---|---|
Dimensions | 12,5 × 20 cm |
Auteur |
Kathryn KUHLMAN |
Nombre de pages |
304 |
Format |
125*200 |
ISBN |
978-2-88027-075-9 |
Date de 1ère parution |
novembre 2017 |
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Cela pourrait arriver à votre fille (par Charles Wood)
Personne n’est plus pauvre que celui qui a SEULEMENT de l'ARGENT et pas de gratitude. La famille Charles Wood fait partie des plus riches familles du monde. Ils sont riches en reconnaissance envers Dieu qui a fait une chose merveilleuse pour leur fille Sheryl.
Charles Wood est membre de l'Institut américain des comptables diplômés et pour le moment est contrôleur de comptabilité d'une grande compagnie de Cleveland.
En automne 1962, Sheryl, notre aînée, était une jeune fille de treize ans, active, sportive, elle venait d'entrer en huitième à l'école supérieure junior de Olmsted Fall. L'été précédent, Sheryl et Carol, sa sœur de onze ans, avaient assisté à un camp chrétien et participé à toute une liste d'activité allant du base-ball aux combats d'oreillers. Maintenant Sheryl était un boute-en-train. Chaque après-midi notre arrière-cour devenait une scène des plus animées et les cris de «rah-rah-rah» et «arrête» résonnaient contre les murs de notre maison et de ceux des voisins. Le fait que lors de ses activités Sheryl avait reçu plusieurs coups sur la tête ne nous paraissait pas très important à l'époque. C'était inévitable avec cette fille vive et aimant s'amuser.
Puis, un lundi matin, ma femme Gwen reçut un coup de téléphone du bureau de l'école disant que Sheryl s'était évanouie dans le hall. Gwen se hâta d'aller à l'école. Quand elle y arriva, Sheryl était tout à fait remise mais Gwen la ramena à la maison. Toutefois, le jour suivant, Sheryl retourna à l'école. Mercredi, un appel téléphonique du secrétariat de l'école parvint à mon bureau. La secrétaire de l'école m'avisait que Sheryl s'était de nouveau évanouie et qu'on ne pouvait atteindre sa mère. Naturellement, je quittai immédiatement le bureau et partis à l'école. Sheryl paraissait un peu pâle et effrayée mais semblait autrement bien.
Je pris alors rendez-vous pour l'après-midi chez notre médecin de famille.
Ne trouvant rien d'alarmant après avoir examiné Sheryl, le docteur conseilla de la laisser retourner à l'école, et de l'avertir s'il se présentait d'autres difficultés.
Le lendemain déjà je recevais un autre appel de l'école. Sheryl s'était évanouie pour la troisième fois. On n'avait pas pu la faire revenir à elle et on l'avait conduite à l'hôpital de la Communauté du sud-ouest, à Béréa, pour un traitement d'urgence.
Je me hâtai d'y aller et je fus soulagé de voir Sheryl ayant repris conscience. J'insistai toutefois pour qu'elle reste à l'hôpital. Lorsqu'elle s'était évanouie, sa tête avait heurté le sol carrelé et le docteur suggéra qu'on fasse des rayons X du crâne. Cela fut fait ainsi qu'une ponction afin de trouver la raison de ces crises d'évanouissements.
Ces examens n'ayant donné aucun résultat, le docteur suggéra que Sheryl prenne quelques jours de repos et d'observation à l'hôpital. Durant ces jours, Sheryl eut encore un évanouissement tandis qu'elle était sur une chaise roulante.
Comme il n'y avait pas de diagnostic ferme, on lui permit de retourner à la maison et à l'école. Durant les semaines suivantes, Sheryl eut encore plusieurs évanouissements et elle se plaignait de « bruits » dans la tête. Un jour elle nous dit qu'avec d'autres enfants, ils s'étaient piqués avec des épingles et qu'elle n'avait pas senti la piqûre à son bras droit.
Les crises d'évanouissement devinrent alors plus fréquentes et elles duraient plus longtemps. Il devint de plus en plus difficile pour elle de continuer à suivre l'école, non seulement à cause des absences, mais à cause de ces « bourdonnements » dans la tête dont elle se plaignait de plus en plus. Une fois, tard dans la nuit, je fus éveillé par ses plaintes et ses pleurs. Arrivant dans sa chambre en trébuchant, je la trouvai tenant sa tête et se balançant d'avant en arrière dans son lit. « Ma tête, papa, c'est comme si elle allait éclater ! » La seule chose qui semblait la soulager c'était le bruit assourdissant de la radio que l'on faisait aller si fort que toute la famille était tenue éveillée.
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