Ce nouveau livre de Michel Renevier explique que libérer les captifs est un problème d’envergure car il touche au plus profond de la personne atteinte soit par le monde spirituel satanique, soit par les problèmes liés à la personne : hérédités, malheurs de tout genre, blessures de la vie, dépression, handicaps physiques, psychiques et spirituels.
Les problèmes ne manquent pas. Certains sont héréditaires, d’autres dus au comportement et d’autres aux attaques diaboliques. Les catastrophes naturelles tuant, blessant, appauvrissant et n’épargnant personne sont à classer dans le domaine des épreuves. Tous ont besoin d’aide, de secours, de consolation. Jésus est venu pour cela et a tout porté en son corps sur le bois de la croix. Sa réponse apporte la consolation du Père céleste à nos souffrances.
Libérer les captifs
12,20€
Réparer les brèches
Ce livre est le fruit d’une longue expérience, avec l’espoir qu’il aidera les serviteurs de Dieu et ceux qui, plein de compassion, se vouent à cette délicate vocation afin de mieux aider les victimes de nombreuses séductions et de puissances diaboliques.
Poids | 0,16 kg |
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Dimensions | 13,5 × 21 cm |
Auteur |
Michel RENEVIER |
Nombre de pages |
140 |
Format |
135*210 |
ISBN |
978-2-88027-071-1 |
Date de 1ère parution |
mai 2017 |
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Qui n’est pas confronté à une ou des maladies est à mettre dans la liste des records ! Dès l’enfance, l’être humain doit combattre la maladie : rhumes, rougeole, rubéole, oreillons, fièvres, problèmes digestifs, maux de tête, de gorge, douleurs diverses, accidents … et j’en passe !
La situation la plus pointue rapportée par la Bible est celle de Job. On le situe vers 1520 av. J.-C. Son nom signifie d’ailleurs : persécuté ou celui que l’on traite en ennemi. Il a réellement vécu.
Vivant bien, proche du Dieu vivant, père de 10 enfants, sa vie va basculer au moment où Satan jette un défi à Dieu, lui reprochant de l’avoir particulièrement protégé et béni (Job 1.6-12). Dieu accepte le défi en précisant : « Voici, tout ce qui lui appartient, je te le livre, mais ne porte pas la main sur lui. » Que se passe-t-il alors ?
• Il perd biens et famille lors d’une tempête (1.13-22)
• Il est atteint d’un ulcère malin (2.7)
• Il ne lui reste que sa femme qui l’invite à maudire Dieu et à mourir (2.9)
• Sa souffrance va durer quelques mois et le met en proie à de nombreux « pourquoi et comment » (9.27 ; 23.2)
• L’épreuve est si forte qu’il préférerait s’en aller (10.1). Cela justifierait-il l’euthanasie prônée par « exit » ? Nullement, car c’est à Celui qui a donné la vie de décider quand il la reprendra !
Job ne pécha point et n’attribua rien d’injuste à Dieu ! C’est la merveilleuse mentalité des véritables croyants ! Ses amis, pleins de bonnes intentions, se montrent bien incompétents : au lieu de le consoler, ils cherchent à le convaincre que s’il est éprouvé de la sorte, c’est qu’il a péché. Drôles de consolateurs ! Ce qu’ils affirment n’est pas dépourvu de bon sens, mais ne correspond en rien à la situation de Job. Le plus jeune des quatre, Elihu, avertit Job avec sagesse (36.21) : « Garde-toi de te livrer au mal, car la souffrance t’y dispose. »
Comment s’en est-il sorti ?
Au fond de son cœur régnait l’Esprit de Dieu car, malgré sa souffrance insupportable, il prophétise sur le Messie (Jésus-Christ) avec une saveur spirituelle de haute valeur (19.23-29) :
« … Mais je sais que mon Rédempteur est vivant et qu’il se lèvera le dernier sur la terre. Quand ma peau sera détruite, il se lèvera … moi-même je contemplerai Dieu. Je le verrai et il me sera favorable. Mes yeux le verront et non ceux d’un autre … car la justice de ma cause sera reconnue… »
Dieu, après ce combat, le guérit complètement et lui rend au double de tout ce qu’il avait perdu (chap. 38 à 42). Voilà, la récompense de la foi en un Dieu de miséricorde et d’amour !
Quand Jésus, le Fils de Dieu, agit sur la terre, des guérisons et des délivrances se produisent par milliers (Jean 21.25). Comme à Job, il attribue dans certains cas, au diable d’en être l’auteur (Luc 13.16 ; Marc 3.11 ; Luc 13.16).
Dans mon premier livre « Fournaise » je témoigne de la dure épreuve par laquelle nous avons dû passer en 1975 : un accident de la circulation lors duquel l’imprudent motocycliste coupant un « S » à 150 km/h a enflammé notre voiture. Il s’est tué, a tué notre fille Nicole et m’a conduit au centre des brûlés à Lausanne. 40 opérations chirurgicales et réparatrices ont été nécessaires pour me rendre visage et mains !
Confronté à cette épreuve, j’ai constaté que quatre réactions possibles sont associées à la souffrance :
• La rébellion. Peut-elle vraiment apporter un soulagement alors qu’elle conduit à l’endurcissement du cœur (Héb. 3.8) ?
• La fatalité. Cette pensée semble apporter un certain soulagement puisqu’elle repose sur cette expression populaire : « Cela devait t’arriver. Même si tu avais mis tout en œuvre pour l’éviter, ça se serait passé ! » C’est le ton du Coran, mais pas de la Bible. On subit la fatalité mais, avec Jésus-Christ on entre dans des plans préparés d’avance (Eph. 2.10). C’est de loin pas la même situation !
• La résignation. Comme on n’a pas le choix et qu’on ne veut pas se révolter, on se résigne. Apparemment proche d’une acceptation, elle s’en éloigne à cause du raisonnement qui la caractérise : « Il faut bien que j’accepte, la souffrance fait partie de la vie ! » Elle n’exprime donc pas vraiment une pleine acceptation.
• L’acceptation, par contre, s’associe aux plans de Dieu en cherchant à en découvrir le contenu. S’enfermer dans sa souffrance ne résout rien. Par ce moyen, Dieu ouvre de nouvelles portes, rend apte à Le servir dans une compassion et une dimension nouvelles.
Job - le récit le montre clairement - a été victime d’une action diabolique. Face à une telle épreuve, les déclarations excessives, malheureusement, ne manquent pas. Lorsqu’on parle de maladies, toutes ne sont pas d’origine diabolique. On peut les classer en quatre catégories :
° Les maladies naturelles (celles de l’enfance et du vieillissement)
° Les maladies professionnelles (farines et graisses)
° Les maladies psychosomatiques
° Les maladies éprouvant notre foi et nos sentiments
° Les maladies bactériennes, virales ou microbiennes
° Les maladies d’origine diabolique
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