Révélation.
Vous avez dit : Révélation ? En fait beaucoup de chrétiens sont découragés par cette lecture difficile ; sans parler de ceux qui disent : Il y a tant d’interprétations et d’avis différents sur ce sujet : On verra bien comment cela se passera le moment venu !…
Pourtant « toute l’Ecriture est inspirée et utile !… » en particulier pour répondre -surtout à la fin des temps où nous sommes- à ces deux questions angoissées :
Y a t-il un avenir pour Israël ?
Y a t-il un avenir pour l’Eglise ?
L’Apocalypse est écrite pour encourager la foi, nourrir l’espérance et consoler l’Eglise dans les temps difficiles, en l’exhortant d’une façon pressante à être prête, car Jésus vient « bientôt » (subitement) « dans un temps d’angoisse pour Jacob » (Jérémie 30.7) et « un temps de colère et de jugement pour les nations » (Apocalypse 6.17).
Dans la fin des temps l’Eglise « souffre les douleurs de l’enfantement » (Jean 16.21), mais elle chante le cantique de l’Agneau car sa délivrance est proche !
Bonne lecture !
Un jour mon Prince viendra
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Vu la rareté d’ouvrages chrétiens sur un tel sujet, pourtant d’une extrême importance en ces jours solennels de la fin des temps, c’est avec reconnaissance que nous découvrons ce commentaire sur l’Apocalypse.
Etude du livre de l’Apocalypse à partir du texte de la TOB.
Poids | 0,24 kg |
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Dimensions | 13,5 × 21 cm |
Auteur |
Philippe ANDRE |
Nombre de pages |
172 |
Format |
135*210 |
ISBN |
978-2-88027-199-2 |
Date de 1ère parution |
octobre 2010 |
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Apocalypse signifie « ôter le voile » qui nous empêche de voir ou « Révélation » concernant :
« Celui qui vient » (1.4, 7, 8),
« les choses qui doivent arriver bientôt » (4.1).
L’auteur promet au lecteur attentif d’être heureux et rassuré quant à l’issue des événements de la fin des temps (1.3).
Le prophète Balaam avait annoncé depuis longtemps (1400 ans avant Jésus-Christ) : « un astre qui sort de Jacob et règne en souverain » (Nb 24.14-19).
Les évangiles et les épîtres parlent surtout de la première venue de Jésus-Christ et du salut personnel.
L’humanité souffrante et l’Eglise persécutée et haïe comme l’a été son maître soupirent dans leur cœur : « Jusques à quand, Seigneur ? » (6.10). Elle se pose des questions sur l’avenir de l’Eglise et sur le règne de Dieu et de Christ. L’Apocalypse annonce « les choses qui doivent arriver bientôt » (1.1, 4.1, 22.6-7). La fin ultime de cet avenir, c’est le retour de Jésus-Christ dans la gloire (parousie = avènement) (1.7, 22.17-20).
Comme tous les écrits prophétiques, l’Apocalypse est écrite pour encourager la foi, nourrir l’espérance et consoler l’Eglise dans les temps difficiles en l’exhortant d’une façon pressante à être prête, car Jésus revient « bientôt » (subitement) « dans un temps d’angoisse pour Jacob » (Jr 30.7) et « un temps de colère et de jugement pour les nations » (6.17, 14.19, 19.15).
Dans l’Apocalypse l’Eglise souffre les douleurs de l’enfantement (Jn 16.21), mais elle chante parce que « celui qui est en elle (ou avec elle) est plus grand que celui qui est dans le monde » (1 Jn 4.4, Ap 5.8-13).
Au grand dénouement, à la fin de l’Apocalypse, la mort et le mal sont vaincus, Satan est jeté dans l’étang de feu et de soufre pour l’éternité (20.10). La paix, la justice et la gloire de Christ règnent.
L’Apocalypse a été écrite à la fin du premier siècle sous la domination de l’Empereur Domitien (81 à 96) qui s’est montré particulièrement persécuteur des chrétiens dans tout son empire (1.9).
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